Le marché de l’investissement locatif haut-de-gamme en France est énorme. Des châteaux, des chalets, de grands appartements et bâtiments en mauvais états qui ne demandent qu’à être exploiter, ce pays dispose d’une pléthore de biens immobiliers anciens qui ne demande qu’à être exploité. Un investir dans le haut de gamme serait malin d’autant plus que la fiscalité s’y prête.
Pourquoi investir dans le haut de gamme ?
Pourquoi investir dans l’immobilier haut de gamme ? L’atout principal d’un investissement locatif dans la rénovation d’un ancien immeuble en centre-ville reste l’avantage fiscal non plafonné ! Aujourd’hui, investir dans l’immobilier de prestige locatif se révèle être une tâche compliquée.
Pourtant, il existe un placement qui présente tous les avantages dont rêve un bailleur : l’achat d’un bien ancien à restaurer, de belle facture, située dans un quartier sauvegardé, une zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager ou une aire de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine. Ce placement, connu sous le nom d’immobilier Malraux dispose de cinq atouts principaux.
Les avantages du dispositif Malraux dans l’immobilier haut de gamme
Les programmes Malraux étaient, pendant longtemps, réservés aux riches contribuables capables d’investir des sommes importantes dans des appartements de standing de grande taille. Toutefois, il n’est pas facile de trouver un appartement idéal, car la demande dépasse largement l’offre alors que les zones de protection ne sont pas extensibles et les immeubles forcément limités en nombre.
Le dispositif Malraux permet à un investisseur de bénéficier d’avantages fiscaux calculés sur le montant des travaux de restauration engagés par le contribuable. Pour les immeubles situés en secteur sauvegardé, la réduction d’impôt s’élève à 30%, et 22% pour les immeubles situés dans une zone de protection du patrimoine architectural urbain ou paysager.
Investissement locatif en dispositif Malraux
Investir sur un bien classé en Loi Malraux permet en effet de bénéficier d’une très forte défiscalisation. Votre investissement locatif se décompose de la manière suivante : le prix existant et le prix des travaux. En fonction de l’emplacement, de la ville mais aussi de l’état du bâtiment, la réparation entre existant et travaux varie fortement. Ainsi, plus la part des travaux est importante et plus vous bénéficierez d’une réduction d’impôt plus intéressante. Il est à noter que la réduction d’impôt est calculée sur la base des dépenses de rénovation engagées dans la limite annuelle de 100 000 euros.